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Toc Toc ART asbl 

A l’origine de la création de l’ASBL, deux comédiennes : Maya Boelpaepe et Laurence Briand. La rencontre humaine naît tout d’abord à l’Académie d’Etterbeek chez Bernard Marbaix, puis se poursuit au Conservatoire Royal de Bruxelles de 2002 à 2006 où un cursus commun les amènent à travailler ensemble régulièrement chez des professeurs tels que Daniel Hanssens, Yves Claessens, Michel de Warzée, Hélène Theunissen, Patricia Houyoux, Serge Demoulin, Jean-Claude Idée, Dominique Grosjean, et bien d’autres encore.  

 

En 2007, séduites par l’énergie et l’humour de la pièce du brillant Alan Ball, elles montent « Cinq filles couleur pêche » sous la direction de Clément Manuel à qui elles offrent sa première mise en scène.  La pièce est montée au Centre culturel de Watermael-Boitsfort grâce au soutien d’Eric de Staercke  Le Festival de Spa, enthousiasmé par le projet, décide d’acheter deux dates pour l’été 2008. La création de l’ASBL Toc Toc Art aura lieu la même année, en suite logique à ce parcours. 

 

En 2009, elles travaillent également sur le texte de Valérie Lemaître « Kontainer Kats » pour quelques dates de création dans un café-théâtre. 

 

Leur rencontre avec Geneviève Damas a lieu en 2008, à l’époque du projet « Cinq filles ». Un an plus tard, de discussions en lectures, le choix de « La Robe de Gulnara » s’impose assez naturellement sur une proposition de Geneviève Damas. Cette pièce sera créée au Festival de théâtre de Spa à l’été 2012 et poursuivra son chemin sur les planches du Centre Culturel des Riches-Claires en septembre 2012 puis en tournée dans toute la Belgique jusqu'en 2014.

 

Parallèlement au spectacle de théâtre contemporain traditionnel, l’envie de mélanger le théâtre et le chant fait son chemin. Ainsi différents cabarets seront produits par la compagnie entre 2012 et 2020.

 

Tout d’abord « Le cabaret du Chat noir » ensuite « Welcome to les années folles ». Également un spectacle de chant lyrique avec la mezzo soprano Marie-Laure Coenjaerts et le pianiste Flavien Casaccio: "14-18 par des artistes belges".

Puis « Est-ce ainsi que les hommes vivent ? » et enfin « Sur un air ce cinéma » spectacles qui connaîtront un très beau succès sur différentes scènes partout en Belgique.

Cabarets, théâtre musical et concerts Production TOC TOC ART

"Sur un air de cinéma"

De Sinatra à Michel Legrand, de Marilyn à Romy Schneider en passant par le cinéma de Nougaro, ce cabaret pétillant et dansant, vous emmène dans un voyage à travers le cinéma français et américain pour redécouvrir une multitude de chansons cultes.


Du Chabadabada au Tourbillon de la vie, ce patchwork musical, des chansons les plus connues aux plus inattendues, vous est servi avec brio par deux comédiennes et un pianiste dans un mélange de danses, de chants, et de textes.
 

Retrouverez-vous les titres d'où sont tirées les chansons ?

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"Est-ce ainsi que les hommes vivent ?"

« Est-ce ainsi ce que les hommes vivent » c’est une ligne de vie. Un voyage au cœur de la chanson française. En passant par Ferré, Ferrat, Brassens, Barbara, Montand, Reggiani, Trenet et bien d’autres, on retraverse l’époque des grands chansonniers.

 

Au centre de ce spectacle une interrogation : comment et pourquoi vivons-nous ? « La vie ne vaut d’être vécue sans amour » chantait Gainsbourg. L’Amour est une des grandes préoccupations des hommes et sera au centre de ce spectacle.

En quelques notes sur des airs bien connus, la chanson française ; puits inépuisable d’histoires humaines ; retrace avec justesse nos tranches de vie. Pour quelques minutes, elle nous transporte dans un paysage différent et pourtant si familier, car il est tout simplement le nôtre.

 

Alors, si c’est ainsi que les hommes vivent, si la vie est ce qu’elle, si avec le temps va tout s’en va, si c’est la solitude que l’on trouve devant sa porte et si on aime à perdre la raison, qu’est-ce qu’on attend pour être heureux ? Qu’est-ce qu’on attend pour faire la fête ? Carpe diem, car la vie c’est maintenant.

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"Welcome to les années folles"

Les années folles, période de 10 ans entre 1920 et 1929, sont dans nos souvenirs Joséphine Baker et sa ceinture de bananes. Elles résonnent dans nos oreilles avec le charleston, le jazz, les robes droites, les sautoirs de perles, les boas.

Welcome to the années folles est une machine à remonter le temps qui vous embarque en plein cœur des années 1920 de New-York à Paris. Dans la tradition du cabaret, deux comédiennes et un musicien vont vous faire revivre cette époque d’insouciance et de rêves, musique, danse, poèmes, tenues, humour tout y est. 

Ce spectacle est une invitation à la fête, aux plaisirs et aux charmes d’une époque folle où tout était possible.

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"Cabaret du Chat Noir"

Ce cabaret était animé par  les chansonniers célèbres de l’époque, entre autres Aristide Bruant et des poètes tels Jean Richepin, Paul Verlaine, Alphonse Allais... 

Laurence, Maya et Alexis interprètent  avec bonheur et brio de nombreuses chansons  et textes appartenant à cette époque révolue, fin du 19è, début du 20ème. Il faut être comédien pour  « jouer »  ces chansons-là. Ils le font admirablement bien, dans les expressions, la voix, les mouvements, revêtus de costumes et robes, style fin 19ème. Ils sont  joyeux et amusants.

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Et quelle joie pour nous, jeunes, moins jeunes, plus jeunes du tout, de vivre  une heure de spectacle d’antan.

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"14/18"

Au départ, il y a l’histoire du soldat inconnu dont la lettre est découverte dans la terre, qui symbolise la terre des tranchées. Seule une flamme, une lueur d’espoir, illumine la scène. Le public se laisse ensuite surprendre par un chant qui résonne du fond de la salle : « Rien ne nous reste du passé ». Rien ne nous reste du passé entonne cette voix mélodieuse : « Rien, ni nos larmes ni nos sourires ».
 

Le lien se fait alors entre le texte et la musique pour ne former qu’une seule histoire : celle de la Belgique de 14-18. Celle de ces hommes, de ces femmes qui ont vécu la guerre, la faim, la soif, la misère, l’angoisse mais aussi l’espoir, la joie et l’amour. L’histoire de l’Homme qui, quand la perspective d’un avenir incertain se pro- file, réveille le « bouffon » qui est en lui parce qu’il n’a plus qu’une seule chose qui le fait tenir : le rire.
 

Ce spectacle met à l’honneur des auteurs belges dans une atmosphère musicale belge, elle aussi, grâce au compositeur Charles Scharrès qui a écrit, non pas sur la guerre 14-18, mais durant celle-ci. Il a composé des mélodies légères et nostalgiques qui se fondent à merveille avec les textes des auteurs belges sélectionnés pour cette création théâtrale et musicale.

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Théâtre

"La robe de Gulnara"

Dans un reportage sur un camp de réfugiés entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan, figurait la photo d’un mariage. C’est la blancheur improbable de la robe qui inspira à Isabelle Hubert cette fable. Comme le souligne la metteuse en scène Geneviève Damas, l’auteure québécoise évite "la vision manichéenne du "bon réfugié", victime éternelle de l’occidental égoïste". Avec tact, elle nous montre comment ces rejetés de la société survivent différemment. Si certains subissent ou exploitent la misère, d’autres s’efforcent de croire à un bonheur à portée de main.

Après avoir planté le décor, un narrateur entame l’histoire de Mika. Rayon de soleil dans le camp, cette jeune fille de treize ans réconforte la vieille Soviet, cueille des fleurs entre les cailloux et batifole avec son copain Mubaris. Par jeu, elle enfile la robe de mariée de sa soeur, virevolte et ... trébuche. La robe est souillée irrémédiablement. Avec un optimisme indomptable, Mika va se lancer dans une quête rédemptrice. Elle se sent d’autant plus coupable qu’elle sait pourquoi Gulnara a englouti toutes ses économies dans cette robe. Le mariage symbolise l’espoir de fuir ce wagon pourri, de parler librement et de "vivre dans un petit appartement avec des rideaux aux fenêtres."

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"5 filles couleur pêche​"

Dans une Amérique bourgeoise et décadente, cinq filles engoncées dans des robes couleur pêche, se retrouvent demoiselles d'honneur à un mariage qu'elles finissent par boycotter en s'isolant dans une chambre.

Elles exposent leurs désillusions, on entrevoit leurs illusions. Elles sont universelles, ces femmes, avec leurs contradictions et leur quête obstinée du bonheur, de l'amour. Elles sont attachantes avec leur soif de liberté, elles qui sont cloitrées dans une société trop exiguë.

 

Alan Ball ("Six feet Under", "American Beauty") dresse une critique acerbe et drôle d'une société qui oscille constamment entre puritanisme et pornographie.  

"Les dialogues souvent crus explosent comme des petites bombes d'humour noir et jaune. C'est très drôle et déconcertant. Ball nous a habitués au narquois de ses propos ; il choque comme il respire et le public marche, rit avec délectation. Tout en se voilant la face. La Marseillaise"

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"Kontainer Kats​"

Kontainer Kats est une pièce drôle et plutôt rock’ n roll librement inspirée du film culte de Quentin Tarantino « Reservoir Dog’s ». Mais ici l’auteur Valérie Lemaître nous offre sa version féminine de ce thriller.

 

Angel, J. Peel, Stick et Hart sont quatre femmes reconverties en gangsters qui se retrouvent dans une planque après un hold-up. Malheureusement, ce coup qui devait leur assurer une nouvelle vie s’est transformé en massacre. Iron, la chef du clan a perdu la vie dans l’attaque de la banque.

 

Le temps est précieux et les tensions sont vives : règlement de compte, malentendus, adrénaline. Commence alors un huis clos féminin dynamique. Les alliances changent au fil des tensions et des crises. Mais toujours avec humour et dérision.  

                                

Vont-elles se massacrer ? Vont-elles trouver un instant de solidarité ?

 

Comment vont réagir ces femmes prises au piège de la société ? Quels sont leurs perspectives d’avenir?

 

Quatre gangsters femmes, une bourgeoise enceinte qui rêve de changer de vie… Tels sont les ingrédients de cette pièce amusante et cynique signée Valérie Lemaître.

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Nos spectacles chez vous

La Compagnie Toc Toc Art vous propose le cabaret musical "Est-ce ainsi que les hommes vivent?" dans votre salon ou dans votre salle de spectacle.


Pour plus d'informations contacter Laurence Briand : laubriandgdl@yahoo.fr

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Mon travail avec d'autres compagnies

Surexposée

Surexposée est une pièce de Marguerite Topiol qui dévoile la vie d'une comédienne qui doit jongler entre travail et amour. Une pièce drôle et touchante qui a été jouée dans le cadre du festival "Me myself and I" au théâtre de L'ancre en février 2017.

Entre petits déboires et grands échecs, Marguerite Topiol revient sur 15 années de recherches créatives, ou comment tourner en dérision nos angoisses existentielles.

Lors d’une conférence satirique, trois comédiens retracent le parcours artistique de Marguerite et interprètent les facettes de sa personnalité : l’éternelle persécutée, la radicale revancharde, la gourde bienheureuse qui admet ses erreurs... 15 ans d’acharnement, de passion, de douleur et toujours pas de reconnaissance ! Cela vaut-il la peine de continuer ? Pour trancher, le public déambule dans l’exposition qui restitue ses créations via des vidéos, photos, notes et installations plastiques... À vous de juger !

Mise en scène et texte Marguerite Topiol. Au jeu Laurence Briand, Hugo Messina et Marguerite Topiol. Production Ouvrez l'Oeil

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